jeudi 29 août 2013















           Un blog emploi pour se démarquer



Le blog est un excellent outil pour montrer vos compétences et votre personnalité. Un blog emploi permet aussi de gérer au mieux votre identité numérique, de développer votre réseau et de garder un lien avec le monde du travail.

° Gérer son identité numérique ; le blog est un moyen simple et rapide d’apparaître dans les premiers résultats lorsqu'un recruteur tape votre nom/prénom dans un moteur de recherche somme Google. Si vous décidez de créer un blog emploi pour faciliter votre recherche d'emploi, n’oubliez pas d'y détailler vos compétences, vos expériences, votre vision du métier. Avec comme objectif principal de vous présenter comme un expert de votre secteur d'activité.

° Se démarquer sur le CV : une fois votre blog emploi mis en route, bien organisé, présentant du contenu de qualité, placez son URL  sur votre CV. Le blog permet de vous démarquer des autres candidats, le recruteur pourra y être attentif. L’utilisation du blog en lui-même peut également représenter une plus : ouverture et connaissance des nouvelles technologies, motivation, qualité d'écriture . . . C'est une véritable vitrine de vos compétences.

° Rencontrer, échanger, discuter :les bonnes idées naissent souvent d'une réflexion collective. Tenir un blog emploi, c'est s'ouvrir aux commentaires des autres mais également être actif sur la blogosphère. Vous pourrez échanger avec d'autres blogueurs, confronter vos idées à celles de vos lecteurs, demander conseil. . . Un vrai brainstorming.Cela peut être très utile pour avance sur votre projet professionnel. C'est d'autant plus vrai sur une plateforme comme la nôtre : votre blog intégrera directement une communauté active de plus de 2600 blogs.

° Mobiliser et étendre votre réseau : un blog peut être un point de rencontre pour vos contacts et votre réseau. Plus formel qu'un profil Facebook, il fera également plus professionnel. N'hésitez pas à faire tourner l'adresse, le contact de vos contacts deviendront peut-être vos lecteurs. De la même manière, en bloguant sur un sujet précis (votre métier, votre secteur), vous attirerez naturellement des lecteurs qui ont les mêmes centre d'intérêts que vous. En les fidélisant, vous vous ouvrirez de  nouvelles opportunités. Pour cela, il est également important de faire une veille constructive sur votre secteur d'activité pour trouver des blogs similaires et engagé le dialogue.

° Se remotiver : la motivation est essentielle dans une recherche d'emploi. Après quelques mois de recherche infructueuse, le moral peut flancher. Le blog vous permet d'être en contact avec d'autres chercheurs d'emploi qui vous conseilleront et vous apporterons leur soutien si besoin. Écrire régulièrement pour alimenter un blog est aussi remotivant : poser noir sur blanc vos compétences, construire billet après billet votre projet professionnel et faire un point régulièrement sur vos envies et attentes peut vous regonfler à bloc.

° Apprendre : pour bloguer, il faut apprendre à maîtriser les outils informatiques. Dans beaucoup de secteurs d'activités, ces compétences sont devenues incontournables. En gérant votre blog vous pourrez vous familiariser et être accompagné dans la prise en main de ces outil et en même temps améliorer vos qualités rédactionnelles.

° Vous présenter en expert d'un sujet : l’intérêt d'un blog est de pouvoir se référencer assez rapidement sur des mots-clés comme l'intitulé de votre métier. Par le nom de votre blog et des différents billets, vous allez attirer un public de connaisseurs, probablement issu de votre secteur d’activité. En bloguant sur le long terme, vous pourrez vous placer suffisamment bien pour devenir un "expert" de votre domaine. En dehors de la satisfaction d'une certain reconnaissance, cela peut vous aider à multiplier vos contacts et à mettre en valeur votre CV. Et pourquoi pas à obtenir des proposition de postes directement en ligne.

° Rester au contact de votre secteur : le monde du travail évolue vite. Lors de vos    périodes de chômage, il est important de rester en contact avec l'actualité de votre secteur. Bloguer nécessite un travail de veille qui vous permettra de le faire. Les outils, sites et ressources nécessaires rentreront dans vos habitudes et vous permettront d’arriver aux entretiens d'embauche sans perdre le fil.

www.régionsjob.com

samedi 17 août 2013











                  Une fonction qui se rapproche de l'opérationnel

                        Les RH doivent s'impliquer dans le business



Les ressources humaines considérées comme une fonction support déconnectée de la réalité du terrain : cette image vit ses dernières heures. Les entreprises comprennent que la gestion des compétences devient un enjeu stratégique de succès. 

Pour cela, les problématiques RH sont appelées à s'immiscer de plus en plus tôt dans les projets des différents services. "Les managers ne peuvent plus présenter de business plan à leur direction générale sans volet RH", constate Jean-Christophe Sciberras. Disposer des bonnes compétences aux bons endroits constitue désormais un avantage concurrentiel décisif.

Résultat : les ressources humaines et les fonctions opérationnelles doivent absolument se rapprocher. "Les DRH devront coller aux nouveaux enjeux du business et aux évolutions des organisations", estime Vincent Lecerf. Ce dernier est vice-président du Cercle de l'excellence RH, un club du groupe RH&M, qui a publié une étude selon laquelle la principale préoccupation des DRH concerne les enjeux business, suivie par la transformation des organisations et gestion des talents.

Car, pour les DRH, être impliqué dans le cœur de l'activité de l'entreprise, c'est aussi un moyen de gagner en influence auprès de la direction générale. Ils doivent pour cela être au point sur les rouages de l'activité pour faire comprendre aux DG qu'y joue le capital humain. Pour être efficace, le DRH de  demain doit commencer par évangéliser sont patron.

Journaldunet.com


lundi 12 août 2013















      A quoi ressembleront les RH dans 10 ans ?



Le monde du travail de 2013 n'est qu'un lointain descendant de celui des années 1960. Et cette évolution ne semble pas prête de ralentir. Les mutations économiques technologiques et démographiques vont encore profondément transformer les entreprises dans les années à venir. Les RH doivent se préparer à des changements d'envergure.


Les salariés changent , les RH aussi


Il y a quelques décennies à peine, personne n'aurait imaginé trouver les contrats de génération ou les plans seniors en haut de la pile des dossiers des directions des ressources humaines en 2013. Pourtant, désormais, l'élargissement de la pyramide des âges constitue une préoccupation majeure des entreprises, évolutions démographique oblige. " Il y a 20 ans, vous commenciez dés l'âge de 55 ans à compter les mois qui vous séparaient de la préretraite, se souvient Vincent Lecerf, vice-président exécutif RH de Tarkett. Cela a complètement disparu."

Des carrières plus longues, des départs en retraite plus tardifs. . . Le phénomène n'en est qu'à ses débuts mais de nouveaux défis apparaissent d'ores et déjà. 
L'ergonomie des postes de travail doit par exemple s'adapter dans les usines où les ouvriers sont plus âgés. La question de la transmission des compétences se pose aussi avec d'avantage d'acuité, compte tenu des séniors dans certaines entreprises.

Les ressources humaines devront donc mieux accompagner les fins de carrière mais aussi mieux accueillir les jeunes actifs. Les attentes de la génération Y on déjà bousculé certains managers. Celles de la génération Z, encore plus jeune et hyper connectée, poseront de nouveaux défis auxquels les RH ne pourront échapper.

"Les jeunes générations se distinguent avant tout par l'usage des moyens de communication, constate Jean-Christophe Sciberras, DRH France de Rhodia et président de l'association national des DRH (ANDRH). Même si certains seniors si mettent, les plus jeune ont une capacité de communication plus rapide et en réseau". La mise en place de nouveaux outils de communication interne, comme les réseaux sociaux internes, concerne une nombre croissant de DRH.

En plus d'une maîtrise plus intuitive des nouvelles technologies,les jeunes ont aussi un rapport différent à l’organisation du travail. " Pour mieux préserver la vie privée de ses salariés, une entreprises du secteur des nouvelles technologies avait interdit les e-mails le week-end, raconte Vincent Lecerf. Rapidement, les jeunes salariés lui ont fait comprendre qu'ils n’avaient pas de problèmes à envoyer un message à 22 heures depuis leur canapé, mais qu'ils trouvaient important de pouvoir s'absenter deux heures un jeudi matin s'il faut emmener les enfants à l'école."

Méthodes de travail, organisation, mode de management . . . les salariés de demain ne se reconnaitront pas dans les directions du personnel à l'ancienne. Les hommes sont la matière première des DRH, les évolutions des premiers affectent logiquement les seconds.

JDN . www.journaldunet.com
Fabien Renou 

vendredi 9 août 2013









 Cabinet PERTINENCE RH : Recrutement et formation aux métiers du commerce..www.pertinencerh.net !

dimanche 4 août 2013










     ...Formateur pour adultes : fiche métier .

Depuis quelques années déjà, il est devenu fréquent d'exercer plusieurs métiers durant une carrière. De ce fait, les formations se sont multipliées, afin de faciliter les reconversions. Et une nouvelle profession a vu le jour, celle de formateur pour adultes. Elle s'exerce au sein d'organismes de formation ou en entreprises. Ce formateur est en contact avec différents intervenants, comme des stagiaires, des responsables pédagogiques ou des services de ressource humaines. Son activité varie selon les modalités de la formation, en infra ou inter entreprises, et suivant le lieu de la formation, sur site ou en intégré. Autres variantes, les objectifs de formation qui peuvent être de la qualification ou de l'insertion.

Ce pédagogue est amené à former différents types de publics, qui peuvent être constitués de jeunes, d'adultes, d'handicapés, de salariés ou de demandeurs d'emploi. Le domaine peut aussi changer certaines choses, qu'il s'agisse du terrain ou du secteur industriel. Au quotidien, il réalise, dans le cadre de la formation continue, les apprentissages des savoirs et des savoir-faire de publics adultes ou jeunes, afin de favoriser leur insertion professionnelle ou leur adaptation aux évolutions techniques et professionnelles. Il est aussi amené à réaliser l'analyse des besoins de formation d'une structure et à concevoir des produits pédagogiques. C'est lui qui négocie la sous-traitance d'actions de formation. 

En tant que formateur pour adulte, il détermine les méthodes, les moyens et les outils pédagogiques selon la formation à dispenser. Puis, il élabore et fait évoluer les programmes pédagogique, les produits de formation et les supports de cours. Il dispense donc des savoirs aux stagiaires. Ensuite, il évalue les acquisitions de connaissances et met en place des actions correctives. En marge, il recherche des partenaires et développe les relations avec les entreprises et les collectivités. Il doit donc connaître le marché de l'emploi, l’ingénierie de la formation, les techniques pédagogiques, la législation de la formation continue et la réglementation des diplômes et des certifications. 

Il peut intervenir auprès de publics ayant des difficultés, c'est-à-dire des gens analphabètes, illettrés, présentant de troubles auditifs, moteurs, visuels ou psychologiques. C'est lui qui sélectionne les candidats, les stagiaires de formation et les intervenants ponctuels. Il est aussi amené à réalise des bilans de compétences. En outre, il choisit les fournisseurs et les prestataires, négocie les conditions du contrat et contrôle la réalisation de l'intervention. A lui d'établir le bilan pédagogique de l'activité de formation et le le transmettre aux interlocuteurs concernés, qui peuvent être les financeurs ou les partenaires sociaux. Enfin, il conçoit un programme d’orientation, d'information et de formation. 

copyright Ouest France Multimédia

 


jeudi 1 août 2013










Comment choisir son organisme de formation
En clarifiant vos besoins et en vous renseignant sur les formateurs, vous évitez les mauvaises surprises.

Pas facile de se repérer dans le maquis de la formation professionnelle. L'offre est pléthorique : environ 50 000 structures proposent leurs services en France. Indépendants ou groupes d’envergure, tous lorgnent le magot que représentent les dépenses des entreprises, sous forme de plans de formation et autres droit individuel à la formation (Dif). Mais tous ne sont pas en mesure de répondre à leurs besoins, même si, dans le lot, la perle rare existe nécessairement. Responsables formation, DRH ou même managers doivent faire preuve de méthode pour dégoter l’organisme sérieux, compétent et adapté à leur demande.

Affiner sa demande

Avant de vous lancer dans la quête de l’organisme idéal, vous devez absolument définir les besoins des salariés concernés. Quelle thématique ? Quel budget ? En salle de cours ou en ligne ? Dans l'entreprise ou à l'extérieur ? Autant de questions auxquelles il vous faudra apporter des réponses le plus précises possible.

Si vous ne maîtrisez pas tous les tenants et aboutissants, n'hésitez pas à aller à la source de la demande. "Pour établir une description fine de la demande de formation sur les normes comptables, par exemple, le DRH, qui n'est pas un financier, doit se tourner vers le professionnel", précise Jérôme Lesage, PDG et fondateur de Place de la formation, une société d’achat et de gestion de formation pour le compte d'entreprises. Au besoin, le bénéficiaire de la formation ou le responsable qui en est à l'origine doit pouvoir détailler au maximum ses désidératas. Présentez-lui éventuellement différentes options existantes pour qu'il ait conscience de l'éventail des possibilités. Une formation de perfectionnement Excel, certes, mais sur quelles fonctionnalité en particulier ? Votre recherche n'en sera que plus efficace. 

Récolter les informations

En dehors de cas de formations pointues, plusieurs organismes se retrouvent généralement en compétition pour répondre à vos demandes. Collectez alors le plus d'informations possibles sur eux : leur taille, leur chiffre d'affaires, le type de formateur, leur ancienneté, leur spécialité . . . Et n'hésitez pas à aller au-delà de la plaquette de présentation : les résultats financiers, la date de création ou les éventuelles procédures judiciaires en cours se retrouvent facilement en ligne si l'entreprise se montre transparente. Une recherche qui est loin d'être superflue. "Apprendre qu'un organisme est placé en redressement judiciaire ne constitue pas un critère rédhibitoire dans le cadre d'une formation qui se tient la semaine prochaine, il le devient pour un cursus étalé sur 6 mois", illustre Jérôme Lesage.  

Autre moyen d'en apprendre plus sur un organisme : solliciter des personnes qui ont déjà fait appel à ses services. A la manière d'un recruteur, vous pouvez prendre des référence auprès d’entreprise clientes. Si un avis positif ne constitue pas une garantie que la formation vous plaira, il permet d'y voir plus clair et d'éviter les charlatans. 

Vérifier les points-clés 

Devant la masse d'informations, vous devrez mettre en lumière les critères incontournables pour finaliser votre choix. "Pour une formation de type coaching, c'est la personnalité du formateur qui compte, et non le chiffre d'affaires de sa société, illustre Jérôme Lesage. Pour une formation déployée sur plusieurs sites, on regarde surtout la qualité du réseau".

Le même travail est évidemment à effectuer sur le contenu même du module de formation sous peine de s'y perdre. Entre une formation d’anglais à 30 euros de l'heure et une autre à 170 euros de l'heure, la différence dans la prestation doit, être claire à vos yeux. 

Capitaliser sur l'expérience

Évidemment, une fois que la formation s'est déroulée, il est impossible faire une retour dans le passé. Il est cependant possible-et même utile- de faire un retour d’expérience. L'évaluation par les participants est monnaie courante à la fin de formation, mais une analyse à froid, quelques semaines plus tard, permet d'établir un bilan moins subjectif. En distinguant ce qui a réussi de ce qui a échoué, vous enrichissez votre connaissance de l'offre. Et affinez votre prochaine demande de formation.  


Fabien Renou

www.journaldunet.com